Close Menu
    X (Twitter) YouTube LinkedIn
    lundi 16 juin
    • Qui sommes-nous ?
    • Contact
    LinkedIn X (Twitter) YouTube
    Pierrepapier.fr
    • Accueil
    • Actualités
      • SCPI
      • OPCI
      • SIIC
      • OPCVM immobiliers
      • Crowdfunding immobilier
      • Les analyses
      • Le Best-Of de Pierre Papier
    • Placements
      • SCPI
        • Qu’est-ce qu’une SCPI ?
        • Parlez-vous SCPI ?
        • La fiscalité des SCPI
        • L’aventure des SCPI
      • OPCI
        • Qu’est-ce qu’un OPCI ?
        • Comment investir en OPCI
        • La fiscalité des OPCI
      • SIIC
        • Qu’est-ce qu’une SIIC ?
        • La fiscalité des SIIC
        • Glossaire
      • OPCVM immobiliers
        • Qu’est-ce qu’un OPCVM immobilier ?
        • Comment investir en OPCVM immobiliers
        • La fiscalité des OPCVM immobiliers
        • Glossaire
      • Crowdfunding immobilier
        • Qu’est-ce que le crowdfunding immobilier ?
        • Comment investir dans le crowdfunding immobilier ?
        • Crowdfunding immobiler : les acteurs
        • Le statut juridique des plateformes de crowdfunding immobilier
        • Crowdfunding immobilier : quels risques ?
        • La fiscalité du crowdfunding en pratique
        • Crowdfunding immobilier, les chiffres clés
    • Indicateurs
      • SCPI
        • Les chiffres clés des SCPI
        • Les performances des SCPI
        • Les frais des SCPI
        • La capitalisation des SCPI
        • La collecte des SCPI
        • La cartographie des SCPI “entreprise”
        • La cartographie des SCPI “résidentiel”
        • La liquidité des SCPI
        • Les sociétés de gestion des SCPI
        • Toutes les SCPI “entreprise”
        • Toutes les SCPI “résidentiel”
      • OPCI
        • Les chiffres clés des OPCI
        • Les performances des OPCI
        • La capitalisation des OPCI
        • La collecte des OPCI
        • Les sociétés de gestion d’OPCI
        • Tous les OPCI
      • SIIC
        • Les chiffres clés des SIIC
        • Les performances des SIIC
        • La capitalisation des SIIC
        • Les dividendes des SIIC
        • Toutes les SIIC
      • CROWDFUNDING IMMOBILIER
      • IMMOBILIER
    • Tout savoir
      • Guide de l’investisseur
      • La mécanique des placements
      • Comprendre les placements
      • Le podcast de l’investisseur intelligent
      • Parlons avec les experts (Vidéos)
      • Parlons avec les acteurs du marché (Podcasts)
      • Conseils pour les conseillers en gestion de patrimoine
      • Définitions clés
    • Acteurs
      • Les partenaires
      • Les régulateurs
      • Les associations professionnelles
    • Guy Marty
      • Les billets Radio Immo
      • Histoires extraordinaires
      • Anecdotes
      • Analyses
    • SCPI en direct
      • SCPI en direct
      • Rapports annuels des SCPI
      • Bulletins trimestriels des SCPI
    Pierrepapier.fr
    Tendance

    Faut-il avoir peur de la hausse des taux d’intérêt ?

    Par Gérard Horny7 avril 20119 Mins de lecture
    Partagez sur :
    Facebook Twitter LinkedIn Email
    Pierrepapier.fr/édito/épargne

    Comme son président Jean-Claude Trichet l’avait clairement laissé entendre en mars,  la Banque centrale européenne a relevé ses taux directeurs ce 7 avril et porté à 1,25 % son taux principal, le refi, qu’elle gardait inchangé à 1 % depuis près de deux ans.  Et ce geste ne restera pas isolé : on peut s’attendre à un taux refi de 1,75 % à la fin de l’année et de 2,25 % au milieu de 2012, soit une hausse d’un quart de point tous les trimestres.

    Cette politique sera certainement très critiquée. Le taux de chômage vient tout juste de retomber au-dessous de 10 % dans la zone euro (il dépasse 20 % en Espagne) ; malgré un rebond spectaculaire, la production industrielle de la zone dépasse de très peu son niveau de 2005 ; de fortes incertitudes planent sur l’évolution de l’économie mondiale en raison des turbulences politiques enregistrées dans les pays arabes, de la hausse du coût des matières premières  et des conséquences du tsunami japonais ; enfin, des taux d’intérêt plus élevés risquent d’avoir pour première conséquence de faire monter l’euro face aux autres grandes devises et de pénaliser un peu plus les exportateurs européens. Les éléments qui plaident pour un maintien du statu quo ne manquent pas.

    Pourquoi relever les taux ?

    Pourtant, la BCE a décidé de durcir sa politique, quitte à continuer à alimenter en liquidités les banques qui en ont le plus besoin. Avec une hausse des prix qui atteint déjà le rythme annuel de 2,6 % dans l’ensemble de la zone euro, la banque centrale doit passer à l’action sans trop tarder si elle veut éviter que ne se déclenche une spirale inflationniste prix salaires. Ajoutons que, sur le marché monétaire, le taux à trois mois oscillait avant le 7 avril autour de 1,25 % ; autrement dit, avec une inflation à 2,6 %, les taux réels à court terme étaient  négatifs ; la BCE peut encore relever ses taux directeurs plusieurs fois avant que les  taux à court terme ne  soient au même niveau que l’inflation et ne deviennent réellement pénalisants . Les banques qui ont besoin de liquidités vont encore les trouver sur le marché monétaire à des conditions  intéressantes.

    Evidemment, cela ne sera pas sans conséquence. Les taux à long terme (cinq ans, dix ans, etc.) sont déjà nettement plus élevés que les taux à court terme (dans le langage des spécialistes, on dit que la courbe des taux est pentue),  mais ils peuvent encore monter un peu. Cela aura notamment un impact sur  les crédits immobiliers. D’ailleurs, le gouverneur de la Banque de France estime que les banques accordent ces crédits immobiliers à des taux trop peu rémunérateurs pour elles (avec des marges trop faibles) et les incitent à les relever.

    Quel impact pour la pierre-papier ?

    Cela peut-il être négatif pour  l’épargne investie dans des produits financiers ayant l’immobilier pour support ? L’impact  devrait être limité. Jusqu’à présent, pour reprendre le vocabulaire de Jean-Claude Trichet, la politique monétaire européenne était «  très accommodante » ; elle l’est un peu moins maintenant, mais l’économie de la zone euro, particulièrement en Allemagne et en France, est en mesure de le supporter. Des taux très bas, à 1 % ou moins, sont des taux de combat que l’on n’utilise qu’en période de crise, quand il faut à tout prix empêcher l’économie de sombrer. Ce qui était justifié en 2009 et encore en 2010 ne l’est plus aujourd’hui

    Pour être plus précis, faut-il s’inquiéter pour les sociétés foncières cotées ? Pierrepapier.fr a posé la question à Pascal Heurtault, directeur des investissements chez Aviva Investors France. La réponse a été très claire : « Nous sommes très positifs sur ce secteur. Souvent, on dit que les hausses de taux ne sont pas bonnes pour les foncières. Nous avons regardé : en fait, ce n’est pas vrai ». Et Pascal Heurtault énumère les raisons pour lesquelles il reste confiant envers les valeurs immobilières : beaucoup d’entre elles gardent une décote par rapport à leur actif net ; elles offrent un fort rendement ; les loyers et donc les revenus et les dividendes versés évoluent sur longue période comme l’inflation ; la moitié de leurs engagements financiers sont à taux fixe, ce qui n’est pas à négliger en période de hausse des taux d’intérêt ; les primes de risque sont confortables ; enfin beaucoup d’entre elles ont fortement réduit leur endettement, elles ont la possibilité d’emprunter et donc de faire jouer l’effet de levier.

    En résumé, la reprise du mouvement de hausse des taux directeurs de la BCE sera certainement très critiquée : un banquier central n’est jamais populaire quand il durcit sa politique. Certains emprunteurs, particuliers ou entreprises, auront la vie plus difficile. Mais, à ce stade du cycle économique, cette décision n’est pas aberrante et, avec un taux refi à 1,25 %, on ne peut pas dire que la politique monétaire devient  restrictive.  Il n’y a pas d’inquiétude à avoir pour la pierre-papier.

    Gérard Horny

    Les clés pour comprendre

    Taux à court terme et marché monétaire. Le marché monétaire ou marché interbancaire est le marché sur lequel les banques se prêtent de l’argent entre elles à court terme ; c’est sur ce marché que se forment les taux au jour le jour, un mois, trois mois, six mois, etc. Par ses taux directeurs, la banque centrale oriente les taux du marché monétaire : si la banque centrale prête à 1 %, une banque qui a des liquidités à prêter aux autres n’a aucune raison de le faire à un taux plus bas. Les taux à court  terme (on parle aussi plus simplement de « taux courts ») sont les seuls sur lesquels la banque centrale a une influence directe.

    Courbe des taux. Si, sur un même graphique, on trace une courbe reliant tous les points indiquant le coût du crédit  en partant du jour le jour jusqu’au crédit à 30 ans, on obtient une ligne généralement ascendante : les taux à court terme sont normalement plus faibles que les taux à long terme (on parle aussi plus simplement de « taux longs »). Plus la courbe est pentue, plus l’écart est grand entre le long terme et le court terme. Quand les banques centrales veulent mettre un terme à une période de surchauffe de l’économie et d’inflation, elles relèvent très fortement leurs  taux directeurs ;  les taux à court terme peuvent alors être temporairement plus élevés que les taux à long terme. On dit que la courbe est inversée. Cette situation est évidemment très défavorable à l’activité économique ; les tensions inflationnistes se calment assez vite, mais au prix d’une chute de la croissance et d’une montée du chômage. On peut avoir une situation intermédiaire avec une courbe des taux plate, c’est-à-dire des taux d’intérêt du même ordre de grandeur à court terme et à long terme. Dans les périodes de relance de l’économie, il faut des taux à court terme très bas, ce qui permet aux banques de se refinancer à bon compte pour aller ensuite acheter des obligations d’Etat qui peuvent  leur rapporter deux ou trois points de pourcentage de plus ; leur santé s’améliorant, les banques sont alors en mesure de financer l’économie.

    Comment sont déterminés  les taux à long terme ? Pour les taux à long terme, la référence est le coût auquel les Etats doivent emprunter ; pour la France, par exemple, c’est le rendement de l’OAT (obligation assimilable du Trésor) à dix ans. Ce  taux résulte  de l’offre et  de la demande.

    La banque centrale peut influencer les taux longs, mais le jeu est assez compliqué. Par exemple, une banque centrale qui voudrait garder des taux bas sur toute la courbe des taux pour stimuler la croissance de l’économie et garderait pour cela des taux directeurs extrêmement faibles pourrait aller à l’encontre du but poursuivi. S’il y a des risques d’inflation et si la banque centrale ne fait rien, les investisseurs s’inquiètent et demandent des taux à long terme plus élevés. Au contraire, relever les taux directeurs, et donc faire monter les taux à court terme, peut permettre de stabiliser les taux à long terme, voire de les faire baisser, car les investisseurs arrêtent d’anticiper des prix de plus en plus élevés. Conclusion : la banque centrale doit veiller à calmer l’inflation anticipée pour obtenir des taux à long terme bas.

    L’Etat exerce un rôle plus important encore sur l ‘évolution des taux à long terme, par sa politique budgétaire. Si ses déficits sont très élevés et s’il a des besoins d’emprunt très importants, les investisseurs le lui font payer : les taux à long terme montent (on dit aussi : « les taux longs se tendent »). Mais il n’y a pas de relation simple entre le niveau des déficits et le niveau des taux que doit payer l’Etat. Pour prendre un exemple d’actualité, le Portugal n’aurait jamais vu ses taux à long terme monter autant s’il n’y avait pas eu auparavant les crises grecque et irlandaise. A l’inverse, les Etats-Unis peuvent (du moins jusqu’à présent)  financer sans problème des déficits très importants parce que beaucoup d’investisseurs internationaux ont des dollars à placer et n’ont en fait guère d’autre choix que les bons du Trésor américain..

    Si, sur les taux courts, il y a un lien quasiment  mécanique avec les taux directeurs  de la banque centrale, les taux longs obéissent à des règles plus complexes dans lesquelles la confiance (ou l’absence de confiance) joue un rôle déterminant.

    Taux nominaux ou taux apparents et taux réels.  Quand on parle de taux d’intérêt, il faut toujours faire référence à l’inflation. Emprunter ou prêter à  4 %, ce n’est pas la même chose avec une inflation à  2 %, à 4 % ou à 6 %. Dans le premier cas, le prêt  est effectué avec un taux réel de  2 % (4 %  de taux nominal moins 2 % d’inflation) ; c’est le prêteur qui est gagnant. Dans le deuxième cas, le taux réel est nul ; l’affaire ne rapporte rien au prêteur ; quant à l’emprunteur, son crédit ne lui coûte rien, il ne fait que rembourser le capital qu’on lui a prêté ; c’est une bonne affaire. Et si l’inflation monte à 6 %, le taux réel devient négatif (4 % moins 6 %) de deux points et l’emprunteur réalise alors une excellente affaire : ce qu’il rembourse vaut en fait moins cher que ce qu’il a emprunté.

    C’est pour cette raison qu’il faut un peu d’inflation dans une économie (sinon personne n’emprunterait et la croissance serait faible, voire nulle), mais pas trop (sinon, c’est la ruine de ceux qui ont un capital et le placent à taux fixe).

    Pierrepapier.fr/édito/épargne
    Share. Facebook Twitter LinkedIn Email
    Previous ArticlePlacements : les leçons de l’histoire
    Next Article Icade lance son programme de rachat d’actions
    Gérard Horny
    • Website

    Gérard Horny est licencié en droit, diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris et du Centre de formation des journalistes. Il a effectué l’essentiel de sa carrière à l’hebdomadaire Investir, où il a été successivement rédacteur au service économie, chef du service, rédacteur en chef adjoint et rédacteur en chef. Chroniqueur sur le site internet de commentaire de l’actualité slate.fr, il est aussi l’auteur de La Bourse pour les Nuls.

    Articles qui pourraient vous intéresser

    ASPIM : 11 propositions pour « dessiner l’immobilier locatif de demain »…

    ASPIM : 11 propositions pour « dessiner l’immobilier locatif de demain »…

    15 décembre 2021 Marchés immobiliers
    L’immobilier, oui, mais plutôt en direct…

    L’immobilier, oui, mais plutôt en direct…

    7 mai 2021 Actualité
    Le télétravail n’est pas une alternative, mais un complément au présentiel

    Le télétravail n’est pas une alternative, mais un complément au présentiel  

    19 février 2021 Actualité
    Abonnez-vous à la newsletter Pierre Papier !
    loader

    Veuillez renseigner votre adresse email pour vous inscrire*

    J'accepte de recevoir vos e-mails et confirme avoir pris connaissance de votre politique de confidentialité et mentions légales."

    Les dernières actualités
    SCPI qui changent de nom

    Ces SCPI qui changent de nom…

    13 juin 2025
    Performances des SCPI 1T 2025

    Sociétés civiles immobilières : toutes leurs performances du 1T 2025

    11 juin 2025
    Investissement T1 2025

    Investissements : le retour en force du bureau et des commerces au 1T 2025

    10 juin 2025
    Gestionnaires actifs immobiliers mondiaux

    Qui sont les plus grands gestionnaires d’actifs immobiliers mondiaux ?

    6 juin 2025
    SCPI d’Aroxys « New Gen »

    Aroxys, un nouvel entrant sur le marché des SCPI diversifiées

    4 juin 2025
    En direct des SCPI

    La SCPI Osmo Energie publie son rapport annuel 2024

    À l’issue de sa première année d’existence, Osmo Énergie a su démontrer la solidité de…

    En savoir +

    La SCPI ActivImmo publie son rapport annuel 2024

    La SCPI ActivImmo, gérée par Alderan, publie son Rapport Annuel 2024. Dans un contexte immobilier…

    En savoir +

    La SCPI Eden consolide sa stratégie européenne avec une acquisition logistique à Groningen

    La SCPI Eden, gérée par Advenis REIM, réalise sa deuxième acquisition aux Pays-Bas, renforçant son…

    En savoir +

    Extendam et Sohoma investissent dans l’Hôtel des Théâtres à Paris

    Extendam et Sohoma annoncent l’acquisition conjointe de l’Hôtel des Théâtres, un boutique hôtel 4 étoiles…

    En savoir +
    Newsletter Pierre Papier
    loader

    Veuillez renseigner votre adresse email pour vous inscrire*

    J'accepte de recevoir vos e-mails et confirme avoir pris connaissance de votre politique de confidentialité et mentions légales."

    • SCPI
    • OPCI
    • SIIC
    • OPCVM IMMOBILIERS
    • CROWDFUNDING IMMOBILIER
    • LES PARTENAIRES
    • QUI SOMMES-NOUS ?
    Suivez Pierre Papier
    • Twitter
    • YouTube
    • LinkedIn
    Copyright © 2025. Réalisé par The First Blossom. / Mentions légales.

    Type above and press Enter to search. Press Esc to cancel.

    Gérer le consentement aux cookies
    Nous utilisons des cookies pour optimiser notre site web et notre service.
    Fonctionnel Toujours activé
    Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
    Préférences
    Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
    Statistiques
    Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
    Marketing
    Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
    Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
    Préférences
    {title} {title} {title}