
La publication des résultats mitigés de la foncière à la fin février, assortie de l’annonce du maintien du dividende (à 1,2 euro), avait déjà donné lieu à une activité inhabituelle sur ce titre dont les quantités d’actions quotidiennement négociées est plus proche de 15000 que celle constatées cette semaine. Mais cette activité avait plutôt accompagné des prises de bénéfices qu’une revalorisation du titre en bourse. La seule mise en avant de l’importante décote dont souffre le titre sur sa valeur d’actif net réévalué (28,2 euros) ne suffit pas à expliquer le déclenchement ces derniers jours d’un mouvement de rattrapage.
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