Hôtellerie, résidences étudiants, résidences personnes âgées… ‘ color= » style=’blockquote modern-quote’ custom_font= » size= » subheading_active= » subheading_size=’15’ custom_class= » admin_preview_bg= » av-desktop-hide= » av-medium-hide= » av-small-hide= » av-mini-hide= » av-medium-font-size-title= » av-small-font-size-title= » av-mini-font-size-title= » av-medium-font-size= » av-small-font-size= » av-mini-font-size= » margin= »][/av_heading] [av_textblock size= » font_color= » color= » av-medium-font-size= » av-small-font-size= » av-mini-font-size= » av_uid=’av-jx0hlty4′ admin_preview_bg= »]
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Par Hélène Sérignac et Guy Marty, PierrepapierTV
L’immobilier d’hébergement, différences et avantages, diversification européenne, les leçons d’une figure emblématique des SCPI.
Hélène Sérignac :
Vous êtes directeur général de Foncia Pierre Gestion et vous êtes également au conseil d’administration de l’ASPIM.
En matière d’investissement immobilier votre concept favori, c’est l’hébergement. Est-ce que vous pourriez nous expliquer en quoi cela consiste ?
Danielle François-Brazier :
L’hébergement, c’est un hébergement de différentes natures, cela peut être l’hôtellerie, cela peut être les résidences pour personnes âgées, les résidences étudiants également, et puis peut-être d’autres choses pour l’avenir.
Hélène Sérignac :
On peut aussi parler de co-working, co-living, cela rentre aussi dans la stratégie d’hébergement ?
Danielle François-Brazier :
Effectivement, là c’est encore plus novateur parce qu’il y a quelques années on n’abordait pas ces sujets, mais aujourd’hui on pourrait tout à fait les mettre dans l’hébergement.
Hélène Sérignac :
Alors en quoi c’est différent de l’investissement classique ?
Danielle François-Brazier :
L’objectif est d’avoir des baux commerciaux, des baux commerciaux par exemple de longues durées, on va dire 12 ans, voire 15 ans, voire à l’étranger des durées bien plus importantes.
Et puis également la qualité de l’exploitant, ça c’est essentiel. C’est-à-dire que ça doit être un professionnel avant tout, qu’il soit d’ailleurs indépendant ou qu’il soit un groupe reconnu, puisqu’il en existe un certain nombre, on ne va pas les citer ici mais il en existe un certain nombre qui sont reconnus pour leur qualité, je dirais d’exploitation, leur qualité, leur professionnalisme. C’est vraiment le point clé.
Hélène Sérignac :
Et selon vous quel est l’avantage pour les détenteurs de parts de SCPI, ou les futurs détenteurs de parts de SCPI, qui justement misent sur cette stratégie ?
Danielle François-Brazier :
C’est une stratégie, on l’a vu, de long terme, puisqu’on a un taux d’occupation qui, par nature, doit être de 100%. C’est aussi une sécurité pour le détenteur de part. Donc ça c’est le premier élément, donc c’est sur une durée longue.
Deuxième élément, compte tenu du premier, nous pouvons avoir des honoraires de gestion qui sont un petit peu plus faibles par nature que dans des bureaux ou dans d’autres activités.
Hélène Sérignac :
Selon vous quelles sont les limites, ou quels sont les inconvénients de cette stratégie ?
Danielle François-Brazier :
C’est une affaire de choix. L’épargnant peu aller soit vers du classique, donc l’habitation, soit vers du commercial, aussi bien dans du bureau ou du commercial, ou bien au contraire aujourd’hui avec ces produits un petit peu novateurs, en tous les cas ces produits spécifiques, on va plutôt les appeler comme ça, aller vers de l’hébergement commercial.
Hélène Sérignac :
Aujourd’hui on est de plus en plus sensible à une diversification européenne. Est-ce que c’est compatible avec ce concept de l’hébergement ?
Danielle François-Brazier :
Je dirais Hélène, non seulement c’est compatible, mais c’est d’autant plus vrai d’aller en Europe avec des groupes que l’on connait bien en France, et avec qui on travaille déjà parce que il y a un discours et en tous les cas une méthode de travail qui est la même, une confiance qui est la même, un partenariat, on va même dire ça. Et donc c’est vrai que c’est beaucoup plus sécurisant. Ça évite de faire … cela n’empêche pas de faire une analyse, évidement de ce secteur, en tous les cas, des demandes locales, néanmoins c’est encore plus sécurisant.
Hélène Sérignac :
Oui ce sont des groupes qui ont déjà une expertise du pays dans lequel vous…
Danielle François-Brazier :
Exactement, tout à fait.
Hélène Sérignac :
Guy, vous avez une question ?
Guy Marty :
Oui, il se trouve que vous avez débuté votre carrière avec une figure emblématique des SCPI, Louis Pelloux, qui fut l’un des premiers fondateurs de SCPI qui était un homme combatif, passionné. En deux mots, qu’est-ce que vous retirez de cette expérience ?
Danielle François-Brazier :
J’ai coutume de dire que je suis un « bébé Pelloux ». C’est vrai que j’étais très jeune quand j’ai démarré chez Pelloux. Clairement, pour moi, ça a été vraiment un enseignant fondamental. C’est-à-dire qu’outre l’aspect produit, il y a tout l’aspect respect de l’épargnant. Respect, c’est-à-dire connaissance de l’épargnant. Quels sont ses désidérata, quels sont ses objectifs d’investissement ? Et donc à partir de là, effectivement, il y avait l’investissement, ensuite, dans la pierre, mais pour moi cela a été vraiment fondamental. C’est cet amour de l’épargne, cet amour de l’épargnant et du bien faire, voilà, c’est vraiment quelque chose d’essentiel, et j’en garderai toujours cela.
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