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Quand acheter, quand vendre ?

25 juillet 2018 / par Guy Marty

Dans notre conte de fées pour investisseurs, le héros a su, à chaque fois, « acheter pas cher » et « vendre cher ». Pourquoi ne pas s’en inspirer ?

C’est pourtant un piège, un terrible piège, bien plus subtil qu’on ne le pense généralement.

Il existe en effet un paradoxe :

  • Tout le monde sait qu’il faut acheter en bas et vendre en haut. C’est évident. C’est comme cela qu’on gagne de l’argent.
  • Pourtant, même les plus intelligents, les plus expérimentés ou les plus aguerris ne le font pas.
  • Vous ne me croyez pas ? Eh bien, en voici la preuve.

En 2009, après de début de crise financière mondiale et la faillite retentissante de Lehmann Brothers en 2008, les actions étaient en bas, c’est à ce moment qu’il aurait fallu en acheter, tout le monde le sait aujourd’hui. Mais imaginez un instant que des économistes, des experts boursiers et des investisseurs – et ils sont légion de par le monde – aient pensé que la Bourse était « basse » : des masses de capitaux se seraient aussitôt engouffrées en Bourse et les cours auraient soudainement et violemment remonté… Ce n’est pas ce qui s’est passé, ce qui veut dire que ni les spécialistes ni les autres n’ont acheté à ce moment-là, quand les actions n’étaient vraiment pas chères.

Acheter de l’or en 1972, vendre son or et acheter des actions en 1982, vendre ses actions et acheter de l’or en 1999, vendre son or et acheter des actions en 2009…c’est ce qu’a fait notre héros de conte de fées. Pas les gens réels. La preuve, c’est que personne de votre entourage n’a multiplié sa mise par 750 entre 1972 et 2014.

Il y a donc une difficulté bien réelle à acheter en bas et à vendre en haut. On le sait et on le dit, mais on ne le fait pas. Année après année.

Plutôt que de continuer à le penser et à le dire, voyons pourquoi on ne le fait pas.

Où placer son argent en 2018 ?

Chaque année la même question revient. Elle s’affiche à la une des journaux, sur les blogs, sur les lettres de conseils en placement. « Où placer son argent en 2009 ? ». « Où placer son argent en 2010 ? »…  « Où placer son argent en 2018 ? ».

Chaque fois, si l’on est consciencieux, méthodique, lucide, et je suis sûr que nos spécialistes le sont, cette question revient à se dire « Qu’est-ce qui va monter ? », ou, ce qui revient au même « Qu’est-ce qui est en bas ? ».

Donc tout le monde est d’accord, il faut trouver ce qui est assez bas et va monter sérieusement. Cela, c’est l’intention. La bonne intention, de celles qui pavent l’enfer…

En effet, dès que la question a été posée, on part à la recherche de ce qui est assez bas, et c’est là que les ennuis commencent.

Premier exemple, année 2009 : acheter des actions ?

Imaginons un investisseur raisonnable, consciencieux, bien informé. Aurait-il été capable d’acheter des actions en 2009 ? C’est fort peu probable, et voici pourquoi.

Quels sont les faits en 2009 ? Quelques-unes des plus grandes entreprises du monde, totalement au-dessus de tout soupçon en termes de robustesse, viennent de faire faillite. Les gouvernements viennent de sauver les grandes banques en endettant massivement leurs citoyens pour plusieurs générations. L’économie, gravement touchée, présente des perspectives bien sombres.

Première conclusion : s’il doit y avoir du chômage et des faillites, la réaction en chaîne risque de rendre très difficile la vie des entreprises. Ce n’est sûrement pas le moment d’investir sur elles.

Les compagnies d’assurances et les fonds de pension, bref certains des investisseurs importants en Bourse, viennent de perdre beaucoup d’argent par la chute des actions. Comme ces investisseurs ont des engagements vis à vis de leurs clients, ils vont devoir parer au plus pressé, et n’auront aucune marge de manœuvre pour réaliser de nouveaux investissements en actions. Les flux d’achat en Bourse vont se raréfier.

Deuxième conclusion : moins d’acheteurs, les actions ne vont pas être soutenues. Non seulement elles ne vont pas monter, mais elles peuvent encore baisser. Ce n’est pas le moment d’en acheter.

L’endettement massif des Etats va se terminer tôt ou tard par une hausse des impôts. Pas franchement bon pour la rentabilité des entreprises, qui vont devoir porter un fardeau plus lourd. C’est un signal négatif pour les actions.

Troisième conclusion : ce n’est pas le moment d’acheter.

Surtout, la scène globale est catastrophique. Les mentalités oscillent entre l’inquiétude et le pessimisme. On le sait, les gens achètent en Bourse quand ils sont enthousiastes et confiants dans l’avenir.

Quatrième conclusion : il n’y aura pas d’acheteurs pour les actions, ce n’est pas le moment de se singulariser si les autres ne viennent pas aussi, car sans une affluence d’acheteurs la Bourse n’a aucune chance de monter.

Ainsi, tout bien considéré, notre investisseur intelligent n’a pas acheté des actions en 2009. Pourtant ses raisonnements étaient corrects ! Pourquoi ses conclusions n’ont-t-elles pas été bonnes ? Parce que rien ne s’est passé comme prévu…

Faut-il préciser ?

  • Oui, l’économie a été durement touchée, mais les Banques Centrales ont finalement réussi, avec des solutions folles, à éviter les accidents.
  • Les solutions folles des Banques Centrales (essentiellement une augmentation fantastique des liquidités et de l’argent-dette) n’ont pas à leur tour provoqué les catastrophes que certains craignaient.
  • Pendant ce temps la technologie progressait à un rythme effréné, avec des entreprises connaissant une croissance fantastique (les Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft par exemple) et insufflant peu à peu une nouvelle dynamique économique.
  • Toujours pendant ce temps, certaines partie du monde, comme la Chine et les pays proches, ont connu un développement vigoureux de leur économie
  • Et puis un jour le pétrole, qui était depuis des années à 100 dollars le baril, a soudainement baissé, etc. etc.

Je pourrais continuer cette liste, mais on voit bien ici le facteur « surprise ».

En 2009, Apple et Google n’étaient pas les géants qu’ils sont aujourd’hui. L’iPhone avait seulement 2 ans. Amazon était encore un nain. Facebook n’était même pas cotée en Bourse. Twitter non plus, qui avait alors trois ans et comptait 29 employés. Qui parmi nous avait une tablette ou passait son temps sur les réseaux sociaux en 2009 ?

En fait le monde a changé, sans prendre la peine de nous prévenir. En regardant en arrière, nous voyons bien aujourd’hui les prémices de cette « disruption » comme il en a existé peu dans l’histoire. Mais ne commettons pas l’erreur de croire que c’était écrit, que cela devait à coup sûr se passer ainsi. L’histoire aurait pu être différente.

Ainsi notre investisseur, aussi intelligent qu’il ait pu être, ne pouvait pas savoir qu’en réalité les actions étaient « basses » et qu’elles allaient plus que doubler dans la décennie suivante. Donc il n’en a pas acheté. Les spécialistes non plus, les autres non plus.

Second exemple, année 2009 : vendre son or ?

Un investisseur détenait de l’or. Fin 2009, compte tenu d’une actualité catastrophique, il se demande ce qu’il devrait faire. Conserver son or ou vendre son or ? Question classique, banale, appelant une réponse argumentée, donc un examen approfondi.

Voici les faits, en 2009 : depuis 2001, l’or n’a cessé de monter, multipliant son cours par 3,5. Belle performance.

Première conclusion : l’or a le vent en poupe, dommage que je n’en ai pas acheté un peu plus il y a quelques années.

Au moment présent (fin 2009),le monde est entré dans une crise grave, avec pour conséquence un endettement déraisonnable des gouvernements. C’est tout le système financier et monétaire qui est déstabilisé en même temps que déboussolé. Personne ne sait ce qu’il adviendra des monnaies, et dans ce type de période troublée l’or est un refuge.

Deuxième conclusion : l’or est plus que jamais d’actualité, peut-être même va-t-il reprendre du service dans le système monétaire.

Encore au moment présent (fin 2009), une proportion non négligeable d’experts conseillent l’investissement en or pour se protéger au cas où la situation deviendrait encore plus grave, et de nombreuses personnes ici et là s’y intéressent sérieusement.

Troisième conclusion : il y a des acheteurs, cela va monter.

Toujours au moment présent (fin 2009),les banques centrales commencent à intervenir parallèlement aux gouvernements pour injecter plus de liquidités dans le système, des montants vertigineux.

Quatrième conclusion : c’est peut-être une gigantesque inflation qui se prépare, et l’or sera sans doute la valeur refuge en dernier ressort. Là, ce sera le jackpot !

Ainsi, tout bien considéré, notre investisseur intelligent n’a pas vendu son or en 2009. L’or en effet avait des chances plus que sérieuses pour lui. Ses perspectives étaient à la hausse…

Et là, clac, le piège s’est refermé. Car les raisonnements n’étaient pas insensés du tout, et l’or est joyeusement monté jusqu’en 2012. Les acheteurs ont en effet continué d’affluer. L’ennui, c’est qu’il est aujourd’hui à son niveau de 2010. Ceux qui l’ont gardé depuis 2009 ont gagné un peu, ceux qui ont acheté par la suite, et ils sont nombreux, ont soit juste conservé leur valeur soit perdu, alors qu’ils pensaient bien faire.

Il fallait donc être bizarre, insensé ou, comme le héros de notre conte de fées, totalement déconnecté des réalités, pour vendre son or en 2009.

Donc personne ne l’a fait. Ni les spécialistes, ni les autres. Bien au contraire : la preuve, l’or est monté encore pendant quelques temps.

Ce deux exemples constituent la preuve par 2009 que vouloir « acheter en bas » et « vendre en haut » est en pratique irréalisable. Nous aurions pu aussi bien regarder les années 1972, 1982 ou 1999, et d’ailleurs bien des années : la décision d’achat ou de vente au bon moment est une chimère. Sinon, compte tenu du nombre de gens réfléchis et attentifs, eh bien, vous auriez autour de vous de plein de gens qui auraient multiplié leur mise par 750 pendant le temps de leur vie professionnelle…

Le placement idéal

Au fond, le placement idéal tel qu’on l’imagine et tel qu’on nous a appris à le penser, est celui que l’on réussirait à acheter en bas et à vendre en haut.

Dans la vraie vie, les choses se passent différemment :

  • Si un placement est « bas » (tel qu’on le saura plus tard), c’est qu’aujourd’hui personne, ni les spécialistes ni les autres, ne lui accordent le moindre avenir…c’est donc qu’il est considéré aujourd’hui comme encore trop haut par rapport à ce qu’il va devenir: et il faudrait acheter ?!
  • Et s’il est « haut » (tel qu’on le saura plus tard), c’est qu’aujourd’hui tout le monde, les spécialistes et les autres, pensent qu’il est prometteur…c’est donc qu’il est considéré aujourd’hui comme bien bas par rapport à ses perspectives de hausse : et il faudrait vendre ?!

Telle est la seconde illusion que je tenais à dissiper. Croire que l’on peut savoir quand un placement est vers sont plus bas ou vers son plus haut est illusoire. On lesaura un nour, mais plustard, bien trop tard.

Une stratégie d’investissement doit partir du fait que l’on ne sait jamais, au moment où l’on doit acheter ou vendre, si l’on est vers le bas ou vers le haut.

Dur, dur. Mais si vous m’avez suivi jusqu’ici, vous avez compris que les deux illusions que j’ai dénoncées :

  • le mythe du « meilleur»placement, celui qui a les meilleures chances d’être performant dans les prochaines années
  • et le mythe « acheter en bas et vendre en haut »

empoisonnent la littérature sur les investissements et empoisonnent aussi, reconnaissons-le, nos esprits.

Voilà ce que nous apprend le conte de fées pour investisseurs.

Nous nous en souviendrons !

Maintenant, la voie est libre.

Nous allons voir que l’investisseur dispose de ressources considérables. C’est là qu’intervient « l’intelligence du jeu ». Je serais bien incapable de vous expliquer comment multiplier votre mise par 750, mais je peux vous dire ce que font ceux qui ont une réussite très supérieure à la moyenne.

Lire la suite : L’art de la performance

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